Un groupe coréen, sacré meilleur groupe asiatique de tous les temps. Devant sa télé, une jeune femme fulmine de rage. Le Japon n'a plus la popularité d'antan. Dans les années 2000, le monde entier avait les yeux rivés sur l'originalité nippone en terme de musique. Johnny's Entertainment, AVEX, Hello ! Project, toutes les dérivées des AKB, on se les arrachait jusqu'à ce que la Vague Coréenne vienne tout engloutir. Parmi eux, il y avait la Eita Academy, tenue par un homme bien connu dans son pays, Eita Akihito qui avait vaguement réussi à connaître le succès avec un de ses groupes. Mais l'engouement n'a été que bref avant que l'on s'en lasse. Trop old-school, trop brouillon, pas assez professionnel, le marketing laissait clairement à désirer. Elle l'avait compris, il fallait taper plus fort. Il ne fallait pas former des idoles, mais des machines de guerre. La Vague Coréenne était haute mais à son tour, elle s'écrasera contre le sable et une autre vague fera son apparition. La réponse de la Corée du Sud ? Implanter une agence au cœur même de la ville. La guerre est déclarée, le monde de l'idoling tremble ! Et au milieu de tout ça ? De jeunes personnes, la tête remplie d'étoiles, rêvant d'une vie de lumière, rythmée par les cris admiratifs de leurs fans. Ils seraient les meilleurs, même si cela signifiait écraser le rêve d'un autre.

La liberté à portée de main, comme si personne n’en avait jamais douté. Longtemps laissées pour compte, abusées, exploitées ou jugées comme étant faibles, aujourd’hui les femmes prennent le pouvoir, assument qui elles sont et ce qu’elles ont envie d’être. Hier la moitié de l’homme, aujourd’hui une part entière prête à se révéler dans toute sa splendeur.

Toutes différentes mais pas moins complémentaires, elles forment un tout, une unité qui fait aujourd’hui leur fierté. À Los Angeles, les femmes sont heureuses de pouvoir clamer haut et fort leur place dans cette société depuis trop longtemps sexiste... Working girls, épouses, en quête d’elles-mêmes, endommagées, de toutes nationalités, ethnies, sexualités, elles sont qui elles sont. Et si la liberté est grisante pour certaines, elle n’en est pas moins inaccessible pour d’autres. Le tout est de savoir vivre ensemble.

Sur « Glitter In The Air », nous vouons un culte à la femme mais n’en dénigrons pas pour autant les hommes, ils ont tout autant leur place ici ! Le forum est inspiré de la série The L Word et du mouvement féministe qui se fait une place de choix au fil des années. Nous avons choisi de créer un forum libre et simple, pour toutes celles et tous ceux qui sont à la recherche d’un cocon où chacun se sentira ici chez elle/lui.

Lorsque nous tombons sur une vieille photographie datant de notre jeunesse, un élan de nostalgie nous poignarde en plein cœur. Tant de temps s'est écoulé depuis. Dans un instant, une nouvelle année commencera, le décompte a déjà débuté. Mais toi, tu te remémores tous ces moments passés lors de cette fameuse année 1995. L'époque de l'insouciante jeunesse. Tu te rappelles encore avoir été intrigué par les débuts de la vague Hallyu avec la création de l'agence SM ent. qui était autrefois si petite. Tu te souviens avoir écrit des lettres à ton crush pour te confesser plutôt que d'envoyer des textos comme le font les jeunes d'aujourd'hui. Tu ne peux oublier cette époque où tu squattais la salle d'arcade pour aller jouer avec tes amis, puis quand tu rentrais le soir, tu bavardais jusqu'à tard avec ta copine, la téléphonant avec le fixe se trouvant dans le salon. Tu avais même dû mettre au point un langage codé car avec tes parents dans les parages, ça manquait de discrétion. Quelle belle époque.

Regarde attentivement cette photo, laisse-la te ramener des années en arrières. Souviens-toi de cette mélodie qu'ils jouaient toujours à la radio, laisse-toi être transporté(e) à cette douce époque et revis ta jeunesse.

ce ne furent à la base que de simples murmures offusqués, des mots que le chant des vagues étouffait à les en rendre incompréhensibles. mais ils montaient, indéniablement, et bientôt fendirent l’air à l’espoir d’une nouvelle génération. les pas se firent à nouveau plus pressés sur le macadam, le bouche à oreille devint quotidien ; les plus anciens s'inquiétaient encore. les teintes vives de jeju revêtirent leur manteau de gris à l’image d’un passé qui refait surface. les étudiants se lassent de cette pression perpétuelle que la société pose sur leurs épaules encore frêles ; se meurent de tant d’inégalité et du manque de chance qu’on leur réserve pour unique et triste avenir. se soulèvent contre cette modernité faite de richesse ou de pauvreté sans que personne n’interviennent jamais. « oh, sois belle, sois grand et fort, mais par pitié, sois brillant et tais-toi. » et tel le phœnix qui renaît de ses cendres, « la vague » ne s’est jamais complètement éteinte. les braises ne sont que plus vives : le feu reprend et se nourrit de la société, les pions de l’échiquier se mettent en place.

« t h i r d w a v e »

ce furent les étudiants qui, les premiers, mobilisèrent les rues. et bientôt marchèrent avec eux, ceux dont les pensées sont révolutionnaires et bien trop innovantes pour un tel pays.

hors, aux antipodes de ses prédécesseurs, le monde actuel n’est que plus hostile ; les moyens technologiques ont surpassés toutes les attentes, décuplent les risques. et avec eux, les méthodes d’action.

T H I R D W A V E
« si tu ne marches pas avec nous, c’est que tu es contre nous. »

l'olympus complex est le complexe résidentiel à adopter en 2018 ! au plein cœur de séoul, le complexe propose deux résidences, dont l'une à des prix dorés destinée à des résidents aisés, et la seconde avec des loyers assez bas, offrant la possibilité à ceux possédant des revenus plus modestes de vivre dans un des appartements très en vogue de l'olympus complex. les deux résidences priment la convivialité et le bien vivre ensemble puisque le concept même de l'olympus complex est que tous les appartements sont conçus pour plusieurs personnes. pas question de vivre seul

« Akaku Akaku Akaku Yurete »— Academoe Eirin / Japon

Il existe depuis la nuit des temps des légendes racontant l'histoire de créatures malveillantes et aux pouvoirs dépassant l'imagination humaine. Des êtres qui boivent le sang des humains, des bêtes qui prennent apparence humaine. Des vampires. Ces êtres qui se cachent dans les ténèbres, les humains doivent éviter de s'en approcher. S'ils le font, ils se feront capturer par leur beauté... " Kyaaaa! La Night Class! " Chaque jour, ces mêmes cris retentissent dans la cours de l'académie Eirin. Juste avant le couvre-feu des étudiants de la Day Class, ces derniers se rapprochent du pavillon de la lune pour rencontrer des élèves quelque peu particuliers. Réputés pour leur grande beauté, les membres de la Night Class sont considérés comme l'élite de l'élite. Cependant, ils sont complètement différents de ce que les simples mortels pensent. Derrière son apparence de prestigieuse université, qui accueille des élèves des quatre coins du Japon chaque année, se cache un lourd secret. Un secret qui est à l'origine même de sa construction. On y retrouve d'excellents professeurs, un taux de réussite des plus élevés, mais surtout, des créatures qui ne sont que des légendes aux yeux des humains. L'objectif réel de l'université? Prouver au monde que la cohabitation entre les humains et les vampires est possible, mais à quel prix? Tous les regards sont tournés vers cette académie et la moindre erreur pourrait engendrer un bouleversement...

Depuis quarante ans, la ville de Tokyo est sous le contrôle du clan yakuza Muranaka, avec à sa tête l'oyabun Tanaka. Entourée d'une frontière ultra surveillée dont la taxe de passage rebuterait n'importe qui, l'ancienne capitale est le refuge des rebuts de la société. Membres du clan, dealers, prostitués, junkies ou même simples citoyens cherchant à éviter les problèmes, tous se côtoient dans un univers sans cesse proche de la rupture. Saurez-vous survivre au sein de cette société disparate?

Au fil du temps, le marché du divertissement sud-coréen est devenu du plus en plus attirant. Le secteur dégagerait chaque année près de 4 millards d'euros, et ce nombre est sans cesse revu à la hausse si l’on en croit les chiffres annuels publiés en chaque début de nouvelle année. N’était-il donc pas naturel qu’une entreprise étrangère viennent s’installer sur la péninsule ? Et bien, c’est ce qu’a choisi de faire la Rolling US. Venue tout droit des USA, cette agence s’est installée en 2016 en Corée du Sud pour se lancer à son tour dans ce genre en pleine expansion. Après des premiers pas difficiles, l'entreprise américaine a finalement décidé de s’allier en 2018 avec le gouvernement coréen pour lancer un programme de Survival dans l'optique de lancer un futur groupe d'idoles. Derrière ce programme répondant au doux nom de Produce U, une équation simple y figure : des trainee, des épreuves, des perdants et des vainqueurs. C'est à vous de jouer maintenant !

Il n’existe qu’un seul Tree Hill et c’est ma maison. Je n’aurais jamais pu croire qu’après tant d’années, cette petite ville côtière des Etats-Unis me manquerait autant. J’ai pourtant mené une existence ordinaire parmi ces habitants et mon nom est insignifiant pour beaucoup, mais là-bas j’ai vécu mes plus belles années. J’ai aimé un être de tout mon coeur et de toute mon âme. A Tree Hill, il y a quelque chose de particulier, où sur 7, 442 milliard de personne j’ai rencontré des gens qui ont bouleversé ma vie et que je peux appelé aujourd’hui ‘’Famille’’. Cette ville me manque et je compte y poser mes bagages de nouveaux. Je n’y suis pas né, mais c’est tout comme. Je m’y sens chez moi. Et même si des tragédies arrivent, je suis sûr d’une chose, je pourrais tout surmonter là-bas, car je ne suis pas seul, et ca, ca n’a pas de prix.

Tokyo, capitale d'un archipel qui nourrit les rêves des petits et les grands depuis leur plus jeune âge. Qui n'a jamais rêvé de se procurer un soutien-gorge au moyen d'un distributeur automatique? Qui n'a jamais rêvé de s'aventurer dans les rayons étrangement fournis d'un sex-shop japonais? D'assister à un concert Live de Vocaloïd ? Depuis de longues années, la capitale nipponne n'en finit plus de fasciner les passionnés et est devenue la destination de nombreux amateurs de technologie, de fans de mangas et d'autres amoureux de culture japonaise. Le monde entier envie au Japon sa culture particulière, et l'on voit des salons dédiés au pays apparaître aux quatre coins du monde. Mais Tokyo, c'est avant tout une ville de près de 14 millions d'habitants, une ville où les gens viennent, dont ils partent. Une ville de passage, une ville de séjour, une ville où il fait bon vivre pour certains, et où la vie est un calvaire pour d'autre.

L'adolescence, passage inévitable dans une vie…une période où l'on se cherche, déchiré par des premières fois impitoyables et les déceptions qui s'enchaînent, plongé dans l'anxiété et le stress de manquer de temps. La peur de voir une vie défiler bien trop rapidement sous nos yeux naïfs, alors qu'elle n'a même pas encore commencée. A Seohan, les lycéens se perdent dans les idéaux instaurés par leurs parents, si bien qu'ils finissent par en oublier de vivre, se délecter de cette période si courte et éphémère. Ils s'engagent dans une guerre pour l'excellence qui ne fait que s'aggraver d'années en années : une place dans l'université de Seohan, c'est ça qu'ils s'arrachent tous. Pensant que leur vie ne se résument qu'à un petit bout de papier sur lequel un seul mot pourrait tout changer… " Admis " écrit en lettres d'or. Dans un pays où le taux de suicide est le plus élevé, cette course à la réussite ne présage rien de bon. Et parfois, à la nuit tombée, quand tout devient trop insurmontable, on peut apercevoir la jeunesse s'évader dans les bouteilles et les pilules édulcorées, pour oublier cette adolescence amère le temps d'une soirée.